Saliver est un mot impudique
Au contraire d’Elisabeth d’Autriche, qui faisait eloigner d’elle toute odeur de cuisine, signal de grossièreté et d’animalisation de l’appétit, je m’attache à un degré de distinction différent, un degré plus supérieur, plus mystique, voire même plus aristocratique, qui ne fait pas abstraction du prédateur qui vit en nous.
Saliver est un mot sublime. »
Lidia Jorge, romancière portugaise contemporaine